Au sol, près de l’entrée de la bibliothèque principale de Tours (135 787 habitants, Indre-et-Loire), les cartons sont pleins. Remplis de documents de retour en tout genre, mis en quarantaine. Pour, Aude Devilliers, directrice des sept bibliothèques de la ville, cela symbolise la réorganisation imposée aux bibliothèques par la crise sanitaire. « On a dû très vite adapter les services, en privilégiant la simplicité au détriment de l’esthétique. Par exemple, en donnant plus d’importance à la signalétique, pour mieux gérer les flux de visiteurs. » Dans la plupart des équipements de lecture publique, les fauteuils en tissus ont aussi été remisés au placard, pour des raisons sanitaires.
- Après le confinement, retour sur expérience dans les bibliothèques
Lecture publique au ...
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